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vendredi 22 février 2013

NBA - La relève est assurée !


Dans une dizaine d'année les stars de la NBA auront bien changé, exit les Kobe, LeBron, TP et autre Nowitzki (même s'il faut bien avouer que ce dernier est vraiment mal avec les Mavericks cette année). Anyway, dans dix ans nous aurons des nouveaux joueurs, de nouveaux Jordan, O'neill, Chamberlain, ... A chaque époque ses stars. 

Et si le prochain grand de la NBA c'était lui : Julian Newman ? Oui le petit là, au milieu des quatre autres. Ce bonhomme de 11 ans mesure à peine 1m35, mais est déjà autorisé à jouer avec des élèves 6 à 7 ans plus âgés que lui. Il avait déjà repoussé quelques records dans sa catégorie d'âge avec des double-doubles et des joyeusetés dans le style, il s'embêtait un peu apparemment, faisant des matchs en scorant de 69 à 91 points ... Du coup on l'a mis avec les grands, mais ça n'a pas vraiment l'air de le perturber... 

Habile à trois points, au lancer-franc, donneur d'assists et même parfois au rebond, ce jeune prodige a l'air d'être plus qu'une graine de champion. On pourrait même croire que les propos du père pourraient être vrai et qu'il ne s'emballe pas ... Bon il a quand même dit que son fils savait faire des choses que même Chris Paul ou Derrick Rose ne peuvent pas faire... Il y a quand même un pas, j'en conviens. Néanmoins je vous laisse avec cette vidéo démontrant que le garçon n'usurpe pas l'attention qu'on lui donne ! 


lundi 4 février 2013

Les Ravens au sommet du football US

Quelle nuit ! Quelle épopée ! Cette nuit avait lieu le Superbowl depuis la Nouvelles-Orléans. Autant dire que les States ont retenu leur souffle durant toute la soirée (la nuit en Europe). Dans l'antre magnifique des Saints, on a vu s'affronter les Baltimore Ravens (tombeur des Patriots en finale de conférence, et ça c'est bien triste) face aux San Francisco 49ers.

The Brother Bowl !
Ce 47ème Superbowl avait également un petit nom (pour une fois) : le Brother Bowl. En effet, les deux coach principaux des deux équipes sont frères : Jim et John Harbaugh. Autant dire qu'à la fin du match l'ambiance dans la famille ne serait plus la même quelque soit l'équipe qui gagnait. Soit !

Après une première mi-temps à sens unique, ce sont les Ravens qui rentrent au vestiaire avec une avance assez confortable puisqu'ils mènent 21 à 6.

Les Destiny's Child de retour
Et puis là, le halftime show, avec Beyoncé. Pour tout dire j'ai quand même préféré Madonna l'année passée, mais il faut avouer que la copine de Jay-Z sait gérer son audience quand même. Et puis, point d'orgue du show, la recomposition des Destiny's Child. Revoir Kelly Rowland est toujours sympathique, et la troisième dont personne ne connait le nom (et qui ne chante pas beaucoup non plus) mais joue toujours aussi bien son rôle de troisième roue du vélo (après vérification, elle s'appelle Michelle Williams, j'irai dormir moins bête!).

Et puis, c'est la reprise. Pour enfoncer le clou, Kobe Jones se fait plaisir sur le kickoff return, avec un run de 109 yards (record dans l'histoire du Superbowl). Et après 12 secondes en deuxième mi-temps c'est déjà 28 - 6. Autant dire qu'à ce moment-là on se dit que la bande à Joe Flacco (Ravens) est bien partie pour soulever le trophée Vince Lombardi. Et là, c'est le drame : la moitié des lumières du Mercedes-Benz Superdome tombent en rade. On arrête le jeu, et les journalistes (aussi bien de la BBC que de CBS) évoquent déjà la possibilité de reporter le match. Mais impossible n'est pas américain et après 35 minutes d'interruption, on reprend le match. 

C'est là que Colin Kaepernick et les siens (49ers) décident de se mettre en route. Après un touchdown, un sack et un fumble (le tout en moins de 6 minutes) ils reviennent à 28-23. Et là on se dit que l'exploit est possible. Le quatrième quart commence. Les kids de Baltimore (qui sont certainement soutenus par le Kid de Baltimore aka Michael Phelps) terminent un drive avec seulement un petit field goal. Sur le drive suivant c'est Kaerpernick qui prend ses responsabilités et inscrit le touchdown de tous les espoirs. Là-dessus, San Francisco décide de tenter la conversion à deux points, et c'est manqué. C'est donc 31-29.

Joe Flacco : le MVP du Superbowl 2013
Un field goal des Ravens plus tard, il reste, aux nouveaux coéquipiers de Randy Moss (49ers) quatre minutes et l'obligation de marquer un touchdown pour espérer remporter le Superbowl. Manqué. Mais à 4 secondes de la fin un safety vient entretenir le suspens : c'est 34 - 31 pour les Ravens qui doivent punter. Tout repose donc désormais sur les épaules du punt returner de San Francisco. Mais ce dernier n'arrive pas à se faufiler dans les mailles des Ravens qui remportent donc ce 47ème Superbowl qui n'a vraiment pas manqué de spectacle ! Flacco (quarterback des Ravens) est élu MVP (Most Valuable Player) du match.


Pour voir les temps forts de ce match à rebondissements, c'est ici.