Nombre total de pages vues

mercredi 17 avril 2013

Le Grand Jojo a un sérieux concurrent

Tous les quatre ans, on a droit à des hymnes divers et variés pour accompagner les Coupe du Monde. On se rappelle (en tout cas moi je me rappelle) de celui de 1998 avec Axelle Red et Youssou N'Dour : La cour des grands.

Les équipes ont elles aussi droit à leur petite chanson afin de se sentir encouragées durant toute la compétition. On se rappelle encore de celle de Johnny enregistrée pour soutenir l'équipe de France en 2002 : Tous ensemble. On peut dire que ça ne leur aura pas porté chance !

Un autre hymne qui avait lui par contre permis aux Belges d'aller loin (même si ce n'est certainement pas grâce à la chanson mais on peut toujours le croire), c'est E viva Mexico du Grand Jojo, en 1986. Un must pour les Belges. Pour 2014, si la Belgique se qualifie pour la Coupe du Monde, Lange Jojo a déjà annoncé que sa chanson était prête, il n'attendait que la qualification pour l'enregistrer.

D'autres n'ont pas attendu que cela se produise (parce que, oui, nous irons au Brésil) et ont déjà enregistré leur chanson. Fred et les garçons qui interprètent Quand les Belges... (gagneront la Coupe du Monde), une chanson qui mêle le sport et les clichés communautaires, mais qui n'a qu'un seul but : rassembler autour de l'engouement qu'il existe actuellement autour des Diables Rouges. Pour les puristes, on notera que la chanson est sous-titrée en néerlandais. Pas de jaloux donc, et une musique qui reste très vite en tête. En espérant que ça poussera nos Diables à aller loin dans les qualifications mais aussi lors de la campagne brésilienne.

Just enjoy !

mardi 26 mars 2013

Woods n°1, Garcia dans les arbres et une chasse à l'Eagle

Ce week-end a eu lieu le tournoi d'Arnold Palmer, et il s'est passé des choses ! Tiger Woods qui reprend son trône de n°1 mondial, Sergio Garcia qui a été faire un tour dans les arbres, littéralement, et un trou n°6 (un par 5) épique, surtout quand deux golfeurs maitrisent parfaitement  leur sujet et qu'ils visent tous les deux l'eagle (deux en-dessous du par).

Deux ans et demi après avoir cédé sa place de n°1 mondial, Tiger Woods retrouve son fauteuil grâce à une huitième victoire en Floride, chez Arnold Palmer. Il reprend son dû à l'Irlandais Rory McIlroy, n°1 depuis le 12 août 2012. Le copain de Caroline Wozniacki pourrait cependant reprendre sa place lors du tournoi de Houston le w-e prochain.

Avec cette huitième victoire, Woods égale le record sur le PGA Tour du regretté Sam Snead, seul vainqueur à huit reprises dans un même tournoi, en l’occurrence le Greater Greensboro. Avec désormais 77 victoires au compteur, le Tigre se rapproche plus que jamais d’un autre record, celui du nombre de succès (82) détenu là encore par ce même Sam Snead. Et il peut même viser plus loin, vers les 90 victoires. Faut-il rappeler qu’il n’a que 37 ans… Il est donc un des favoris pour les prochains masters d'Augusta, où il tentera de gagner sa cinquième veste verte.

Ce tournoi d'Arnold Palmer a aussi permis de montrer que oui le golf c'est du sport et qu'on ne tape pas la balle que sur de l'herbe. C'est l'espagnol Sergio Garcia qui nous offre ce moment de pur bonheur, ainsi qu'un coup qui est assez balèze, il faut bien l'avouer. Le golfeur espagnol aura connu un dimanche plutôt horrible dans ce 4e et dernier tour de l'Arnold Palmer Invitational. Après un bogey concédé sur le 1 puis un birdie sur le 3, l'Espagnol explose sur le trou n°6, envoyant deux fois sa mise en jeu dans... l'eau avant de signer 9 (quadruple bogey) sur ce par 5. Malgré une belle réaction sur le 7 (birdie), Garcia s'égare dans un arbre au 10. Il parvient ici à réussir un superbe sauvetage mais ne peut éviter le double-bogey avant de prendre la décision d'abandonner à l'issue du trou n°12. Y a des jours comme ça...


Enfin voici la fameuse bataille pour l'eagle. Nous sommes sur le fameux trou n°6, un par 5 immense avec une effrayante pièce d'eau qui peut réduire à néant votre carte de scores. Comme c'est arrivé à Sergio Garcia, l'homme qui grimpait aux arbres. L'Américain Chad Campbell et le Canadien Graham DeLeat, eux, maîtrisent parfaitement leur mise en jeu ainsi que leur deuxième coup. Les deux hommes ont un troisième coup à négocier, à un peu plus de 100 mètres du drapeau. La suite, c'est tout de suite ci-dessous...


Article réalisé en majeure partie avec les informations du Figaro Golf, disponibles ici, ici et ici.
Merci à G.P. pour la première vidéo.

lundi 25 mars 2013

Danica Patrick - The Nascar Girl

L'anneau de Fontana, Floride
Hier soir il y avait une course de Nascar en Floride, sur le speedway de Fontana. Autant vous dire tout de suite, le circuit c'est un anneau de 2,5 miles et il faut faire 200 tours. Je dois bien avouer que c'est particulièrement chiant ! Mais c'est sympa de voir une fois un peu autre chose que la Formule 1 et le rallye. Bon en fait c'est pénible pendant 185 tours, mais il faut bien avouer que les quinze derniers tours étaient particulièrement prenant, il y avait de la lutte, et il y a eu de la casse. Et puis en mode bien US, on a eu droit à une petite bagarre entre deux pilotes après l'arrêt des moteurs (vidéo). Rien à voir donc avec les gentlemen de la F1 qui ne font que bouder sur le podium.

Danica Patrick dans sa combi Nascar
Enfin bon, tout ça pour dire que dans le lot des tapés qui tournent à du 170 mph de moyenne il y avait une voiture dans laquelle se trouvait un pilote un peu particulier. Une pilote en fait : Danica Patrick. A l'heure où Bernie Ecclestone essaie vraiment d'attirer une femme en F1, le Nascar a lui "sa pilote". Et des femmes pilotes c'est assez rare que pour être souligné. Comprenez-moi bien, point de misogynie ici mais bien un constat : les femmes sont sous représentées dans les sports moteurs. Donc quand il y en a une, c'est bien d'en parler.

Danica Patrick, c'est qui alors ? C'est une pilote de 30 ans, qui fait du Nascar depuis cette année. Avant ça elle était en IndyCar, monoplace typée F1. Au début elle commence en karting au Royaume-Uni, elle est repérée et retourne aux États-Unis pour commencer l'IndyCar. Et il faut bien avouer que les débuts ne sont pas faciles. En effet, il est toujours difficile pour une femme de s'imposer dans un monde assez macho. En 2006 un de ses adversaires dira :
Danica est très agressive dans nos voitures, surtout si on la prend au bon moment du mois.
En IndyCar, elle a le meilleur palmarès féminin
Pourtant en 2005, à ses débuts en Indy, Danica Patrick impressionne. Elle se place 4e sur la grille de départ des 500 miles d'Indianapolis. La meilleure place qu'une femme ait atteint. Elle finira d'ailleurs les 500 miles à la quatrième place, après avoir réalisé l'exploit de mener l'épreuve (une première historique pour une femme pilote à l'Indy 500) jusqu’à quelques tours de l'arrivée.

Lors de sa seule victoire, au Japon
C'est donc en toute logique qu'elle sera élue Rookie of the Year 2005. Cette même année elle réalisera sa première pôle. Elle en signera trois en tout sur ses 98 apparitions en IndyCar. Et en 2008, c'est la consécration, qui fera taire les détracteurs : elle remporte ce qui reste encore aujourd'hui sa seule victoire en IndyCar, au Japon, en 2008, et devient la première femme de l'histoire à remporter une course d'IndyCar, ainsi que la première femme à remporter une course d'un championnat majeur de monoplace. Enfin, en 2009, elle termine 3e des 500 miles d'Indianapolis.

Depuis son passage en Nascar, on ne peut pas dire qu'elle soit complètement à la masse. Sur les dix courses qu'elle a disputées, elle a déjà signé une fois la pôle.

Cependant, il existe un autre côté de Danica Patrick : la pilote est encore considérée plus comme une Anna Kournikova du plateau que comme une réelle pilote. Une femme qui fait plus parler d'elle pour sa plastique et ses photos que pour ses performances sur la piste. Mais bon, elle a quand même prouvé qu'elle savait résister à la pression, s'installer durablement dans un monde masculin, voire complètement macho, et elle a signé quelques performances dignes d'intérêt. Pour moi elle peut donc faire les photos qu'elle veut, tant que ce n'est pas pour n'être qu'une potiche dans les courses auxquelles elle participe.


Pour la petite histoire, Danica Patrick a terminé 26e de la course à Fontana, quand un certain Juan Pablo Montoya finit lui à la 38e place. Au classement général elle pointait, avant la course, à la 28e place sur les 60 pilotes concourrant dans la Nascar Sprint Cup. A quand un essai en F1 ?

mercredi 13 mars 2013

Le Vatican à l'aide du FC Barcelone

Hier, c'était quitte ou double pour le FC Barcelone en Champion's League. Les Catalans qui avaient perdu le match aller face à l'AC Milan 0-2 devaient sortir le grand jeu pour refaire leur retard sur les Milanais. Et la remontada, comme on l'appelle, a bien eu lieu ! Les Blaugranas ont gagné 4-0. De quoi dégouter les Italiens et montré au monde qu'il n'y a pas de crise au Camp Nou.

Messi sait qui il doit remercier !
Mais si tout ça était dû à une intervention divine ou du moins papale ? En effet, vous n'êtes pas sans le savoir, le pape Benoît XVI a démissionné et il y a du coup un conclave qui est organisé afin de choisir un nouveau pape (le pape a démissionné, un nouveau pape est appelé à régner, ...). 

Et depuis le conclave de 1958 et l'élection de Jean XXIII, c'est comme un gri-gri qui joue en faveur du FC Barcelone. En effet, en 1958, le conclave s'ouvre le 25 octobre. Le 26 octobre c'est El Clásico au Camp Nou pour la septième journée de la saison. Résultat du match : le FC Barcelone étrille le Real Madrid 4-0. 

En 1978, le conclave, qui verra l'élection de Jean-Paul II, s'ouvre le 14 octobre. Ce même jour, le FC Barcelone reçoit Las Palmas pour la sixième journée du championnat. Résultat ? 4-0 pour les Blaugranas. Coïncidence? Je ne pense pas!

Peut-être une idée de second maillot du FC Barcelone pour la saison prochaine
C'est donc hier que le Vatican a décidé de passer à la vitesse supérieure en permettant à Barcelone de rééditer l'exploit mais cette fois-ci en Coupe d'Europe, contre le Milan AC. Autant dire que le club catalan peut dire merci à Benoît XVI pour sa démission et l'ouverture du conclave le jour du match retour.

Vous me direz que cette théorie est bancale, et vous n'aurez pas tort, mais qui sait, les voix de l'autre sont impénétrable, comme on dit.

mardi 12 mars 2013

Benoît Poelvoorde à Anderlecht

Ce week-end lors de la rencontre entre Anderlecht et Malines, Benoit Poelvoorde était dans les gradins du Parc Astrid. Après le match le comédien belge a été dans les vestiaires et puis s'est rendu dans la mix zone. L'occasion pour la journaliste de la DH d'interviewer l'amateur des petits Grégory. 

Celui-ci se la joue "agent de joueur" et avoue son amitié pour le RWDM, ce qui me met encore plus en joie. Un mélange d'humour et une pointe de Raymond Goethals ou de Guy Thys, on ne sait pas trop, mais le résultat est fabuleux.

Enjoy !


lundi 11 mars 2013

Le Yukigassen ou "la bataille de boules de neige"

Mais avec quoi vient-il ? Ce n'est pas du sport ça, c'est juste un jeu. Hé bien oui, c'est un jeu et comme aujourd'hui en Belgique Madame Neige a décidé de faire son grand retour, je voulais vous parler d'un sport d'hiver trop peu connu. A priori il faudra attendre vachement longtemps pour que le Yukigassen devienne un sport olympique mais bon, on fera avec. 

Mais alors qu'est-ce que le Yukigassen ? Hé bien lorsque nous, citoyens lambda nous lançons quelques boules entre deux voitures, il faut savoir qu'il y a, dans le monde, des experts en la matière. Le sport nait en 1988, au Japon. Le principe est simple : 7 contre 7 le premier qui élimine toute l'équipe adverse (en touchant les joueurs avec des boules de neige bien sur) a gagné. Ou bien on peut également aller choper le drapeau de l'équipe adverse, mais c'est plus dur... Les matchs se déroulent en trois manches de trois minutes. Et le premier à deux a gagné vous l'aurez compris. Voici deux vidéos, une explicative, et une qui montre à quoi ressemble ce sport fort atypique !



vendredi 8 mars 2013

Nadal et Del Potro trouvent la nouvelle perle du tennis féminin

Le 05 mars, Juan Martin Del Potro et Rafael Nadal participent à un match d'exhibition au Madison Square Garden. Durant le match, Nadal décide de s'offrir l'aide de Ben Stiller. Del Potro doit alors se chercher un partenaire pour pouvoir jouer quelques points en double. Et son choix se porte sur une toute jeune fille. Stiller par démonté pour un sou prend une des raquettes de l'Espagnol alors que la petite fille reçoit une des raquettes de l'Argentin.

Et au final qui gagne ?

Hé bien c'est la paire Del Potro-Petite fille. En effet, la jeune tenniswoman a impressionné tout le Madison Square Garden, en commençant certainement par son partenaire et ses deux adversaires. Un moment bien sympa à consommer sans modération ! 


Merci à D.T. pour la vidéo.

mercredi 6 mars 2013

C'est vraiment fini pour Tia


Il n'y aura probablement pas de "jamais deux sans trois" pour la meilleure sauteuse en hauteur belge. Après deux carrières, deux enfants, deux titres de championne d'Europe, une médaille d'or aux Jeux Olympiques et un titre de Championne du Monde en pentathlon, elle raccroche donc définitivement les pointes. Lasse et n'ayant plus la force de se dépasser, un nouveau défi s'annonce pour notre Tia nationale : l'organisation du Mémorial Van Damme qu'elle a remporté en 2006 dans le saut en hauteur.


Elle a aussi établi le record de Belgique du saut en hauteur à 2,05m à Pékin, saut qui l'a propulsée au sommet de l'olympisme, en 2008. Deuxième record de Belgique, celui de l'heptathlon, établi en 2006 à Götzis. Cinq ans après Kim Gevaert, c'est une autre grande athlète belge qui tire sa révérence. 


Bon vent Madame Pizza Hut !

vendredi 22 février 2013

NBA - La relève est assurée !


Dans une dizaine d'année les stars de la NBA auront bien changé, exit les Kobe, LeBron, TP et autre Nowitzki (même s'il faut bien avouer que ce dernier est vraiment mal avec les Mavericks cette année). Anyway, dans dix ans nous aurons des nouveaux joueurs, de nouveaux Jordan, O'neill, Chamberlain, ... A chaque époque ses stars. 

Et si le prochain grand de la NBA c'était lui : Julian Newman ? Oui le petit là, au milieu des quatre autres. Ce bonhomme de 11 ans mesure à peine 1m35, mais est déjà autorisé à jouer avec des élèves 6 à 7 ans plus âgés que lui. Il avait déjà repoussé quelques records dans sa catégorie d'âge avec des double-doubles et des joyeusetés dans le style, il s'embêtait un peu apparemment, faisant des matchs en scorant de 69 à 91 points ... Du coup on l'a mis avec les grands, mais ça n'a pas vraiment l'air de le perturber... 

Habile à trois points, au lancer-franc, donneur d'assists et même parfois au rebond, ce jeune prodige a l'air d'être plus qu'une graine de champion. On pourrait même croire que les propos du père pourraient être vrai et qu'il ne s'emballe pas ... Bon il a quand même dit que son fils savait faire des choses que même Chris Paul ou Derrick Rose ne peuvent pas faire... Il y a quand même un pas, j'en conviens. Néanmoins je vous laisse avec cette vidéo démontrant que le garçon n'usurpe pas l'attention qu'on lui donne ! 


lundi 4 février 2013

Les Ravens au sommet du football US

Quelle nuit ! Quelle épopée ! Cette nuit avait lieu le Superbowl depuis la Nouvelles-Orléans. Autant dire que les States ont retenu leur souffle durant toute la soirée (la nuit en Europe). Dans l'antre magnifique des Saints, on a vu s'affronter les Baltimore Ravens (tombeur des Patriots en finale de conférence, et ça c'est bien triste) face aux San Francisco 49ers.

The Brother Bowl !
Ce 47ème Superbowl avait également un petit nom (pour une fois) : le Brother Bowl. En effet, les deux coach principaux des deux équipes sont frères : Jim et John Harbaugh. Autant dire qu'à la fin du match l'ambiance dans la famille ne serait plus la même quelque soit l'équipe qui gagnait. Soit !

Après une première mi-temps à sens unique, ce sont les Ravens qui rentrent au vestiaire avec une avance assez confortable puisqu'ils mènent 21 à 6.

Les Destiny's Child de retour
Et puis là, le halftime show, avec Beyoncé. Pour tout dire j'ai quand même préféré Madonna l'année passée, mais il faut avouer que la copine de Jay-Z sait gérer son audience quand même. Et puis, point d'orgue du show, la recomposition des Destiny's Child. Revoir Kelly Rowland est toujours sympathique, et la troisième dont personne ne connait le nom (et qui ne chante pas beaucoup non plus) mais joue toujours aussi bien son rôle de troisième roue du vélo (après vérification, elle s'appelle Michelle Williams, j'irai dormir moins bête!).

Et puis, c'est la reprise. Pour enfoncer le clou, Kobe Jones se fait plaisir sur le kickoff return, avec un run de 109 yards (record dans l'histoire du Superbowl). Et après 12 secondes en deuxième mi-temps c'est déjà 28 - 6. Autant dire qu'à ce moment-là on se dit que la bande à Joe Flacco (Ravens) est bien partie pour soulever le trophée Vince Lombardi. Et là, c'est le drame : la moitié des lumières du Mercedes-Benz Superdome tombent en rade. On arrête le jeu, et les journalistes (aussi bien de la BBC que de CBS) évoquent déjà la possibilité de reporter le match. Mais impossible n'est pas américain et après 35 minutes d'interruption, on reprend le match. 

C'est là que Colin Kaepernick et les siens (49ers) décident de se mettre en route. Après un touchdown, un sack et un fumble (le tout en moins de 6 minutes) ils reviennent à 28-23. Et là on se dit que l'exploit est possible. Le quatrième quart commence. Les kids de Baltimore (qui sont certainement soutenus par le Kid de Baltimore aka Michael Phelps) terminent un drive avec seulement un petit field goal. Sur le drive suivant c'est Kaerpernick qui prend ses responsabilités et inscrit le touchdown de tous les espoirs. Là-dessus, San Francisco décide de tenter la conversion à deux points, et c'est manqué. C'est donc 31-29.

Joe Flacco : le MVP du Superbowl 2013
Un field goal des Ravens plus tard, il reste, aux nouveaux coéquipiers de Randy Moss (49ers) quatre minutes et l'obligation de marquer un touchdown pour espérer remporter le Superbowl. Manqué. Mais à 4 secondes de la fin un safety vient entretenir le suspens : c'est 34 - 31 pour les Ravens qui doivent punter. Tout repose donc désormais sur les épaules du punt returner de San Francisco. Mais ce dernier n'arrive pas à se faufiler dans les mailles des Ravens qui remportent donc ce 47ème Superbowl qui n'a vraiment pas manqué de spectacle ! Flacco (quarterback des Ravens) est élu MVP (Most Valuable Player) du match.


Pour voir les temps forts de ce match à rebondissements, c'est ici.

samedi 12 janvier 2013

Le mix (11)

2013, c'est déjà bien lancé, mais rien de tel qu'un petit mix pour encore mieux en profiter. Et il s'est déjà passé pas mal de choses depuis le début de l'année !

A commencer par une passe ratée de LeBron James. C'est assez rare que pour être souligné. Mais LeBron n'a pas complètement raté sa passe pour Dwyane Wade, puisque le ballon est arrivé tout droit dans la tête d'un caméraman... Le joueur des Miami Heat s'est directement excusé auprès de sa victime.


NBA toujours avec deux vidéos de Blake Griffin, des Los Angeles Clippers, dans la première il sauve la balle in extremis avant qu'elle ne sorte des limites de jeu, le problème c'est que les enfants au bord du terrain font ne s'attendaient pas à voir un géant de 115kg sauter sur eux ! Dans la seconde on remarquera que si Griffin est un dunker hors pair, il a plus de mal à 3 points, ce qui fait par ailleurs bien rire ses adversaires...





Joe Hart, le gardien de Manchester City, a du lui bien s'amuser en tournant une pub pour Head&Shoulders.


Et Iker Casillas lui a emboité le pas... Quels acteurs !



Football toujours avec Zlatan Ibrahimovic qui est plus à l'aise avec ses pieds qu'avec ses mains. Lors d'une partie de water-basket, c'est grâce à l'aide de ses coéquipiers qu'il a trouvé le panier.


Ça en fera certainement sourire plus d'un de voir qu'Andres Iniesta, le petit génie de Barcelone voulait, plus jeune, jouer pour la maison blanche... L'histoire ne dit pas si le milieu de terrain espagnol rejoindra un jour le Real Madrid...


En rugby on a eu droit à une scène complètement surréaliste : un des soigneurs qui était sur le terrain s'est pris pour un défenseur central au football en allant tacler (bien comme il faut) un des joueurs.

jeudi 10 janvier 2013

Lucas Moura au PSG

Lucas Rodrigues Moura Da Silva, dit Lucas, est le nouveau prodige brésilien et la nouvelle pépite du PSG. Il a fait le pas que Neymar ne semble toujours pas prêt à franchir : il vient en Europe. Au PSG depuis le 1er janvier 2013, il semblerait qu'il se soit bien adapté au climat parisien puisque Carlo Ancelotti a décidé de (déjà) titulariser Lucas pour le match de rentrée du PSG, ce 11 janvier face à Ajaccio. Arrivé dans la ville lumière pour 40 millions d'euros, il pourrait être un complément génial à Ibrahimovic. Be In s'est penché sur l'histoire de ce petit joueur par la taille (1m72) mais grand par le talent. Enjoy !